Une chanson brisée
Ta tête posée sur mon cœur, tu levais les yeux vers moi
Et tout haut, tu as soulevé une question à un débat
Tu élèves tes aveux puis tout haut plein d'émoi
Tu supposes que je devrais écrire une chanson sur toi
Puis j'ai pris un moment pour bien me remémorer
Les fois où tu m'avais plutôt abandonnée
Pour des rencontres sociales, fumer des pétards de combat
Des rendez-vous importants auxquels tu ne te pointais pas
Mais qu'importe, tu m'aimes, oui
Ça justifie tous tes oublis
Mais qu'importe, le temps joue
Une chanson sur mes plaies qui s'entrouvrent
Tu sais que j'en ai plus qu'assez
T'es con en plus t'as pas compris
Que j'allais plutôt te laisser
Tu ne mérites qu'une chanson brisée
Désolée
J'ai longtemps pensé aux étapes à franchir
Pour assurer aux autres qu'on avait tout un avenir
Mes amis s'inquiétaient de nous voir revenir ensemble
Car ils savaient que ton ex t'attendait dans sa chambre
Mais qu'importe, tu m'aimes, oui
Ça justifie tous tes oublis
Mais qu'importe, le temps joue
Une chanson sur mes plaies qui s'entrouvrent
Tu sais que j'en ai plus qu'assez
T'es con en plus t'as pas compris
Que j'allais plutôt te laisser
Tu ne mérites qu'une chanson brisée
Désolée
On s'aimera toujours
Sous les lueurs de novembre
J'espérais reprendre un peu mon souffle
Mais le mal comptait ses proies
Et je l'imagine encore à mes trousses
Mais tu es entré dans la danse
Et j'ai éclipsé ce qu'il me restait
Les autres n'ont plus d'importance
Tes dires deviennent ma destinée
Mais tant qu'il n'y aura que nos souffles
Qui pansent mes blessures
Je veux être bien à toi
Et sous ces lumières écarlates
On s'aimera toujours, je crois
Et je sens mon cœur s'étendre
Quand mes yeux se fondent au vert des tiens
Si le passé nous secoue, tu sais
C'est qu'on pense au lendemain
Si on revit de nos cendres
C'est parfait si l'on tremble
Les démons de nos saluts
Se retrouvent ensemble une dernière fois
C'est comme si on se connaissait
Et nos histoires reprennent leurs ébats
Qu'importe ce qu'on dit de nous
On vit à deux ce que l'on ne sait pas
En images on dit adieu
On vibre dans ce que l'on ne connaît pas
Mais tant qu'il n'y aura que nos souffles
Qui pansent mes blessures
Je veux être bien à toi
Et sous ces lumières écarlates
On s'aimera toujours, je crois
Et je sens mon cœur s'étendre
Quand mes yeux se fondent au vert des tiens
Si le passé nous secoue, tu sais
C'est qu'on pense au lendemain
Si on revit de nos cendres
C'est parfait si l'on tremble
Et je sens mon cœur s'étendre
Quand mes yeux se fondent au vert des tiens
Si le passé nous secoue, tu sais
C'est qu'on pense au lendemain
Si on revit de nos cendres
C'est parfait si l'on tremble
Une complainte dans le vent
Mon souffle coupe toutes les secondes
Avant de te revoir
J'élève la voix sans répondre
Mon cœur bat sans débattre
Mais qu'importent les fautes qu'on a commises
De peur de perdre nos remises
À plus tard nos vœux
Nos désirs amoureux
Mes lèvres tremblent à penser
Aux chaleurs oubliées
À tes doigts longeant mes parures
Tu m'aurais à l'usure
Mais qu'importent les douleurs du présent
Je ne suis plus la même
Tu n'es plus un enfant
Alors qu'on attend toujours
Serait-ce un accident?
Je longerais l'anse vers toi pour tes soupirs
Les rives d'un fjord m'attendent
J'en perds mes vivres
Mais je ne comprends plus pourquoi
On ne chantait plus
Une complainte dans le vent
Mon amour perdu
Les étoiles filaient vers le Sud
J'ai suivi pour éteindre
Ce qui restait de l'amertume
Du sel sur mes regrets
Mais je sais que le temps passe sans nous
Et quand il reste, on devient plus que fous
Peut-être qu'on devrait s'attendre
Dans les méandres
Je longerais l'anse vers toi pour tes soupirs
Les rives d'un fjord m'attendent
J'en perds mes vivres
Mais je ne comprends plus pourquoi
On ne chantait plus
Une complainte dans le vent
Mon amour perdu
Une complainte dans le vent
Mon amour perdu
Une complainte dans le vent
Mon amour perdu
Le Pacifique
J'ai touché la sable colombin
Vieilli de larmes et d'air salin
J'ai porté le chandail d'automne
Que tu m'as laissé au mois d'octobre
Qu'aurais-je pu faire pour te garder?
Au moins un matin m'éveiller
Sur les baies de ton Pacifique
Le vent se lève, tirant les rênes
D'un amour qui ne respirait
De nuits qui ne chantaient plus tes chansons
Qui de loin de nous ont eu raison
Mais moi, je t'attendrai là bas
Sur les rives, morte de froid
Dans l'espoir que j'ai partagé
Avec moi seule pour constater
Que tu ne m'atteins pas
Et c'est comme tous ces pas
Que le sable pourra effacer
Du Pacifique, dans tes mains
Embrasse les filles, embrasse l'ouest
Loin de mes cris, de ma détresse
Tu m'oubliais à chaque seconde
Passée dans les bras d'une colombe
J'ai tant hurlé pour attraper
Un instant de sincérité
Sur les baies de ton Pacifique
Le vent se lève, tirant les rênes
D'un amour qui ne respirait
De nuits qui ne chantaient plus tes chansons
Qui de loin de nous ont eu raison
Mais moi, je t'attendrais là bas
Sur les rives, morte de froid
Dans l'espoir que j'ai partagé
Avec moi seule pour constater
Que tu ne m'atteins pas
Et c'est comme tous ces pas
Que le sable pourra effacer
Du Pacifique, dans tes mains
Tu ne seras jamais là (feat. Alexandra Stréliski)
[Couplet 1]
Les flots t'emmènent, tu vas céder, je n'sais plus t'oublier
Tu quittes encore cette fois
Et les rêves des années qui mirent encore dans mes pensées
J'essaie de les effacer
[Pont]
Mais quand le vent s'élève, je t'entends
Tu existes au loin, ça fige le temps
Et si tu prenais l'air comme avant ?
[Refrain]
Mais quand tu partiras au large
Essaie de rester loin de moi
Ton retour n'est plus qu'un mirage
J'essaie de rester comme avant
Quand tu n'étais pas là
Quand tu n'étais pas là
Et tu n'étais pas là
Tu ne s'ras jamais là
[Couplet 2]
Et puis, les heures, elles s'envolaient à tes hauteurs qu'on effleurait
De peur de se rencontrer
S'il n'y a pas plus fort que nos liens, tu n'choisis plus ce qui nous tient
Je laisserai mon cœur décider
You might also like
Dans l’obscurité
Cœur de Pirate
Le Pacifique
Cœur de Pirate
Comme des enfants
Cœur de Pirate
[Pont]
Mais quand le vent s'élève, je t'entends
Tu existes au loin, ça fige le temps
Et si tu prenais l'air comme avant ?
[Refrain]
Mais quand tu partiras au large
Essaie de rester loin de moi
Ton retour n'est plus qu'un mirage
J'essaie de rester comme avant
Quand tu n'étais pas là
Quand tu n'étais pas là
Et tu n'étais pas là
Tu ne seras jamais là
[Outro]
Mais quand tu partiras au large
Essaie de rester loin de moi
Ton retour n'est plus qu'un mirage
J'essaie de rester comme avant
Quand tu n'étais pas là
Quand tu n'étais pas là
Et tu n'étais pas là
Tu ne seras jamais là
Dans l'obscurité
Je frôle une presque folie
De croire en un amour aussi libre
Mais dans ses mains, j'ai compris
Que les lignes à enfreindre, elle les a franchies
Et la douleur qu'elle porte
Je saurais comment lui enlever
Un casse-tête rempli de tristesse
Que seule je pourrais sevrer
Pourrais-je la voir sourire
Dans un monde comme le mien?
Je ferais tomber les murs entre nous cette fois
Malgré les interdits, traverser les eaux plus troubles qu'autrefois
Affronter le passé qu'on s'impose dans l'obscurité
S'embraser aussi vite
C'était croire en notre destinée
Mais j'ai vu dans tes yeux
Que de s'emballer autant ferait paniquer
Et la douleur qu'on porte
C'est un fardeau qui laisse sa marque
Brimées dans nos élans
Pourrait-on être aussi braves?
Pourrais-je la voir sourire
Dans un monde comme le mien
Je ferais tomber les murs entre nous cette fois
Malgré les interdits, traverser les eaux plus troubles qu'autrefois
Affronter le passé qu'on s'impose dans l'obscurité
Pourrais-je la voir sourire
Dans un monde comme le mien
Je ferais tomber les murs entre nous cette fois
Malgré les interdits, traverser les eaux plus troubles qu'autrefois
Affronter le passé qu'on s'impose dans l'obscurité
Qu'on s'impose dans l'obscurité
Tu peux crever là-bas
J'ai retrouvé le contrôle de mon esprit
J'ai détruit les images de nous, où tu es dans mon lit
J'ai déchiré les pages de notre histoire
Et j'ai brûlé ce qu'il reste de tes Vans, laissés dans mon placard
Et qui pourrait m'en vouloir, tu sais
Tu n'étais qu'un fardeau
De rouille et d'encre, tu laisses ta marque
D'its en cadeau
Et comptais-tu les fois passées chez elle?
À répéter les vas-et-viens
Comme les vagues qui m'emportent vers la fin
Tu sais, que tu ne me mérites pas
Quand le jour se lève sans émoi
J'espère que tu penses un peu à moi
Mais tu peux crever là-bas
C'est dur mais c'est mieux comme ça
Pourquoi pensais-je que tu me serais fidèle?
Tu as sauté les étapes, les lits, de peur et puis d'ennui
Et si le bruit d'une planche qui roule m'émeut
Ce n'est ni pour toi ni notre histoire
C'est parce qu'on n'est plus deux
Et qui pourrait m'en vouloir, tu sais
Tu n'étais qu'un fardeau
Le ventre lourd tu ne bandais plus
De force liquide en trop
Et comptais-tu les fois passées chez elle?
À répéter les vas-et-viens
Comme les vagues qui m'emportent vers la fin
Tu sais, que tu ne me mérites pas
Quand le jour se lève sans émoi
J'espère que tu penses un peu à moi
Mais tu peux crever là-bas
C'est dur mais c'est mieux comme ça
Et comptais-tu les fois passées chez elle?
À répéter les vas-et-viens
Comme les vagues qui m'emportent vers la fin
Tu sais, que tu ne me mérites pas
Quand le jour se lève sans émoi
J'espère que tu penses un peu à moi
Mais tu peux crever là-bas
C'est dur mais c'est mieux comme ça
Mais tu peux crever là-bas
C'est dur mais c'est mieux comme ça
Crépuscule
Quand ton corps roulait le mien au sol
La chaleur des instants s'envole
Et brûle un désir incertain
De prendre ta main
Sous le soleil, on comptait les heures
Qui fanent comme fanent les fleurs
Incandescent comme notre amour
Dans son parcours
Et le temps d'avant
Nous tend ce que l'on caressait
À vif, nos vies, ne laissaient que nos cris
Au loin, crédules, nos peaux au crépuscule
Et pourtant, j'espère encore
Que l'enfant que j'étais
Retrouve enfin, une parcelle de paix
De rires, de liberté sans fin
Une belle histoire ne pourrait durer
C'est ce que on a compris à s'aimer
De part et d'autre, on vit sans cause
Ou peu de choses
Je ne sais plus si c'est notre amitié
Qui fût la première à gagner
Ton souffle me laissait sans frisson
Comme protection
Et le temps d'avant
Nous tend ce que l'on caressait
À vif, nos vies, ne laissaient que nos cris
Au loin, crédules, nos peaux au crépuscule
Et pourtant, j'espère encore
Que l'enfant que j'étais
Retrouve enfin, une parcelle de paix
De rires, de liberté sans fin
Et le temps d'avant
Nous tend ce que l'on caressait
À vif, nos vies, ne laissaient que nos cris
Au loin, crédules, nos peaux au crépuscule
Et pourtant, j'espère encore
Que l'enfant que j'étais
Retrouve enfin, une parcelle de paix
De rires, de liberté, sans fin
Le monopole de la douleur
On s'embrasse comme on quitte
La peine et l'ardeur
Des instants passés entre nous
Tu regardes la neige au sol qui fond
Mais mes dires ont atteint le bout
Que je parle d'la fin d'une histoire
Tu n'entends plus rien
Que je m'exprime tout haut
Tu n'y vois qu'une maudite fin
Et les lignes des épopées
De nos nuits racontent leurs histoires
Mais j'en ai marre
Qu'on broie du noir
Tu penses que tu es le seul à souffrir
Qu'importe que je saigne aussi
Tu parles comme si les choses t'attendaient
Mais tu te complais dans tes oublis
Mais écoute là tout d'suite
C'est complet, c'est fini
De douleur et d'ennui
De passion pour autrui
Mais écoute là tout d'suite
C'est complet, c'est fini
J'ai eu mal aussi
On se laisse comme on trouve
L'amour d'un instant
Situé au plus profond de nous
Je n'sais pas si l'on compte
Nos flammes du passé
Mais elles me manquent, plus que tout
Que je crie plus fort que toi
Tu n'entends plus rien
Que je maudisse tes actions
Tu n'y vois qu'un autre destin
Et les rêves qu'on chérissait
Deviennent les pires des cauchemars
Mais j'en ai marre qu'on garde espoir
Tu penses que tu es le seul à souffrir
Qu'importe que je saigne aussi
Mais tu parles comme si les choses t'attendaient
Mais tu te complais dans tes oublis
Mais écoute là tout d'suite
C'est complet, c'est fini
De douleur et d'ennui
De passion pour autrui
Mais écoute là tout d'suite
C'est complet, c'est fini
J'ai eu mal aussi
Hélas
Qu'on s'attise ou qu'on s'éteigne
Nos flammes brûleront par elles-mêmes
Que l'on vive ou que l'on saigne
L'ardeur vibre dans nos veines
On s'était promis au lendemain
À tous ces lendemains de veille
Nos peaux brûlaient d'incertains
De peur de perdre cette étincelle
Hélas, je pensais être seule
Et ce retour vient me noyer
Dans les abysses de l'inconnu
Que je ne croyais toucher
Hélas, je ne sais que faire
Des cendres, peut-on renaître?
Je ne suis qu'un être esseulé
De peur d'être abandonné
Du froid qu'on ressent en nous
Nos démons au garde à vous
Quitte ou double, les jeux sont faits
Prendre une chance, c'est être défait
On s'était promis des aveux
Mais l'on vit de vœux
Les pas qu'on faisait vers l'avant
S'enfoncent en reculant
Hélas, je pensais être seule
Et ce retour vient me noyer
Dans les abysses de l'inconnu
Que je ne croyais toucher
Hélas, je ne sais que faire
Des cendres, peut-on renaître?
Je ne suis qu'un être esseulé
De peur d'être abandonné
